Archives des WTI - Missions Publiques https://missionspubliques.org/tag/wti/ Wed, 26 Feb 2025 11:06:50 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.8.2 https://missionspubliques.org/wp-content/uploads/2021/03/favicon.png Archives des WTI - Missions Publiques https://missionspubliques.org/tag/wti/ 32 32 Une coalition pour une IA inclusive https://missionspubliques.org/une-coalition-pour-une-ia-inclusive/ Wed, 26 Feb 2025 10:52:15 +0000 https://missionspubliques.org/?p=11451 L’article Une coalition pour une IA inclusive est apparu en premier sur Missions Publiques.

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We, the Internet 2022, le Burkina Faso ouvre le bal https://missionspubliques.org/we-the-internet-2022-le-burkina-faso-ouvre-le-bal/ Mon, 16 May 2022 13:51:28 +0000 https://missionspubliques.org/?p=6821 L’article We, the Internet 2022, le Burkina Faso ouvre le bal est apparu en premier sur Missions Publiques.

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We, the Internet, ce sont des citoyennes et des citoyens qui délibèrent pour aider les décideurs à mieux appréhender le monde numérique de demain. En 2020, 80 pays avaient répondu à l’appel de Missions Publiques pour participer à un dialogue citoyen mondial sur les thématiques de désinformation, de la protection des données, de l’identité numérique et de la gouvernance d’Internet. Cette année, ce sera un dialogue citoyen autour du Pacte Numérique Mondial, un accord lancé par les Nations Unies entre gouvernements, entreprises, citoyens et autres parties prenantes, pour relever les défis en matière de droits humains en ligne, de connectivité et d’accès à Internet…

En mai, Internet Society Burkina Faso et leurs partenaires en collaboration avec Missions Publiques, ont organisé le tout premier dialogue pilote à Ouagadougou, capitale du pays. 200 citoyennes et citoyens ont répondu présent, nous avons rencontré trois d’entre eux…

Hadjar (24 ans) : « Beaucoup de gens ne savaient pas qu’il y avait eu un coup d’Etat à cause des coupures d’Internet »

Ce qui lui plaît à Hadjar, c’est de concevoir et créer des affiches pour des mariages, des cartons d’invitation, des posters d’événements. Et quand elle ne passe pas son temps libre à concevoir, imprimer et afficher ses créations sur « la place du marché », elle étudie les sciences de l’information appliquées à l’Université de Ouagadougou.

Elle a failli ne pas participer au dialogue citoyen We, the Internet. « Le dialogue lui-même aurait pu ne pas avoir lieu à cause d’une pluie torrentielle le matin même, parfois les pluies durent des jours et balaient tout sur leur passage. Les autorités nous déconseillent de sortir dans ce cas-là, mais j’avais envie de faire partie de ce débat. Donc j’ai bravé la tempête pour venir ! »

Ce qu’elle avait à partager ? Son expérience des coupures d’Internet pendant ses études ou pendant le coup d’Etat de janvier dernier (1).

« Après le coup d’Etat, on ne savait pas qui avait pris le pouvoir jusqu’à ce qu’ils fassent des communiqués quelques jours plus tard parce qu’il y avait une panne d’Internet. Une partie de la population ne savait même pas qu’il y avait eu un coup d’Etat, on était dans l’ombre. C’est pour ça que c’est important d’avoir un accès stable à Internet. »

Les coupures d’Internet, « ça peut arriver aussi pendant les cours« . Et quand ça arrive, chacun rentre chez soi. Mais beaucoup, comme elle, n’ont pas les moyens de suivre des cours en ligne. Au Burkina Faso, un abonnement à Internet par ADSL coûte environ 85 €, pour un salaire annuel par habitant d’environ 750 €, soit 60 € par mois. Si l’accès à Internet est devenu une quasi-norme dans la capitale, le coût de la connexion reste élevé pour que chacun puisse en bénéficier. « Et encore, quand on quitte Ouaga’ ou quand on va en périphérie, la connexion est bien plus difficile. »

Le vrai débat, pour elle, était de savoir quelle devrait être la priorité numéro 1 du Pacte numérique mondial lancé par le secrétaire général des Nations Unies. A sa table, « certains disaient que l’accès était primordial quand d’autres répondaient que si les données ne sont pas sécurisées, à quoi sert un accès libre ? Ils n’avaient pas tout à fait tort, car avant d’élargir Internet, il faut avoir la garantie que nos données sont confidentielles, sinon ça n’en vaut pas la peine. »

Fofana (40 ans) : « Un éveil des consciences des jeunes adolescents pour une meilleure utilisation des réseaux sociaux »

Directeur de systèmes d’informations de l’Office national de la sécurité routière à Ouagadougou (Burkina Faso), Fofana est aussi enseignant vacataire dans le supérieur. C’est à la fin d’un cours que l’un de ses étudiants l’informe d’un dialogue citoyen ayant lieu à Ouagadougou sur l’avenir d’Internet.

« Ce dialogue contribuera sans nul doute à l’éveil des consciences des jeunes pour une utilisation plus responsable des réseaux sociaux. Quels sont les bons usages à avoir avec Facebook et WhatsApp ? Quelles sont les sanctions existantes ? Les jeunes qui étaient présents posaient tellement de questions que l’on a débordé de plusieurs dizaines de minutes le temps qui nous avait été imparti. C’est rare et précieux de voir cet engouement chez des adolescents et jeunes adultes« . Cet engouement, il l’explique par une vaste campagne de sensibilisation burkinabée qui arrive à point nommé quelques jours avant le dialogue sur la confidentialité et l’intégrité, sur les informations que l’on altère et que l’on fait passer, sur le parcours numérique pour s’assurer de la fiabilité d’une source.

« Les jeunes pensent que tout est permis avec leur smartphone ! Je suis content de voir qu’ils sont sortis édifiés de cet échange parce qu’ils se sont rendus compte des usages dangereux qu’ils avaient l’habitude d’avoir avec WhatsApp particulièrement. »

Le pays, comme une trentaine d’autres sur le continent africain, dispose actuellement d’une loi sur la protection des données. Cette loi a été longuement discutée avec les participants, et la mise en application de la loi a fait l’objet de débats. « Moi qui suis enseignant, j’ai appris les plus récentes dispositions de la loi intitulée Protection des personnes à l’égard du traitement des données à caractère personnel, que je vais aussi pouvoir partager avec mes élèves. »

Quand Missions Publiques lui demande une photo pour illustrer ce portrait, Fofana nous répond avec ironie « Ma photo ? c’est une donnée à caractère personnel, mais je vous donne… mon consentement…  » Un dialogue instructif qui lui fait conclure que « Malgré le Ramadan et le Carême, on n’a pas senti le temps passer !« 

Sagnon (33 ans) : « Ce dialogue m’a rappelé l’arbre à palabres »

Sagnon a mis sa vie au service de la protection des jeunes sur les médias sociaux. Son rôle dans le dialogue citoyen ? Faciliter un groupe de 15 participants. Un défi qu’il relève pour la première fois « parce que quand vous dialoguez avec quelqu’un, vous faites du grand chemin. Et ce dialogue a été un moyen de faire bouger les idées, une belle lumière ! Le besoin était énorme.  » Fin connaisseur des réseaux sociaux et familier de la jeune génération burkinabée, Sagnon connaît les risques : « Les jeunes dévoilent des contenus sans savoir que ces mêmes contenus peuvent les rattraper au fur et à mesure qu’ils grandissent. »

Des témoignages jeunes qui sont d’autant plus nécessaires car l’enjeu de ce dialogue est pluriel : comprendre les besoins des citoyens par leur partage d’expériences, mais aussi informer et sensibiliser.

Aujourd’hui, « même ceux qui ne sont pas allés à l’école utilisent Internet, sans même connaître les lois. Les jeunes gens qui publient des photos sont innocents, souvent mineurs, ils ne savent pas que quand ils s’ouvrent au monde, ils s’exposent aussi à ses périls. Je pense que les jeunes qui ont participé au dialogue, les plus vulnérables, réfléchiront à deux fois avant de publier des photos sur Internet. » Il se félicite de la présence des parents, parce que « le parent n’est pas sensibilisé et peut se retrouver devant un enfant renfermé sur lui-même, renié de ses camarades et qui peut compromettre son éducation et son avenir« .

« Ce dialogue m’a rappelé l’arbre à palabres, avec la disposition des chaises. Chez nous, surtout en Afrique de l’Ouest, quand on a un problème qui nous tient à cœur, on trouve un arbre quelque part qui fait de l’ombre, on s’installe sous son feuillage et on discute ! »

Devant les vidéos (2) présentées au début de la session, Sagnon a été surpris de voir « que nous ne sommes pas les seuls à faire face à ces risques, ni à les faire savoir autour de nous. Ce n’est pas que dans nos pays en voie de développement, c’est une problématique planétaire. Internet c’est tout le monde, du petit commerçant au fonctionnaire ».

Pour devenir partenaire et rejoindre la coalition d’acteurs avec les Nations Unies, la World Wide Web Foundation entre autres, ou pour toute autre question sur le sujet, merci d’envoyer un mail à antoine.vergne@missionspubliques.com et maria.tazi@missionspubliques.com

(1) Trouvez l’ensemble des vidéos montrées aux participants sur notre chaîne Youtube We, the Internet de Missions Publiques.
(2) Le coup d’État de 2022 au Burkina Faso, qui commence le 23 janvier 2022 par une mutinerie de soldats, est une prise de pouvoir par des militaires qui renversent le président Roch Marc Christian Kaboré et le poussent à la démission. Source : Le Monde.fr

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Que pensent les citoyens du monde d’Internet et de son avenir ? https://missionspubliques.org/que-pensent-les-citoyens-du-monde-dinternet-et-de-son-avenir/ Tue, 10 Nov 2020 09:06:49 +0000 https://missionspubliques.org/que-pensent-les-citoyens-du-monde-dinternet-et-de-son-avenir/ L’article Que pensent les citoyens du monde d’Internet et de son avenir ? est apparu en premier sur Missions Publiques.

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We, The Internet, le dialogue citoyen sur l’avenir d’Internet s’est tenu dans plus de 70 pays à travers le monde. Nous avons profité de la 15e édition de l’ « Internet Governance Forum » (IGF) pour communiquer les premiers résultats à des intervenant.e.s de haut niveau afin qu’ils y réagissent à chaud.

Les résultats, s’ils ne sont pas définitifs, sont intéressants par l’ampleur de la consultation qui a rassemblé plus de 5 000 participant.e.s, représentant toutes les catégories sociales et professionnelles du Guatemala à l’Inde en passant par le Bénin, l’Ukraine et les îles Fidji.

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Les données, une opportunité et une menace

50 % des citoyen.ne.s pensent que les données sont à la fois une opportunité et une menace. Qui doit contrôler la collecte, l’accès et l’utilisation des données ? S’ils se considèrent à 58% comme les premiers responsables de leur données personnelles (vente, droit d’accès et utilisation), plus de 15 % jugent que la collecte des données doit cesser contre 22 % qui pensent que c’est un droit.

Pour Vint Cerf, vice-président de Google « La transparence est ici un élément critique (…) Cependant, si 58 % des citoyens veulent prendre les décisions par eux-mêmes, ce chiffre reflète aussi un pourcentage important de personnes qui préfèrent probablement ne pas avoir un contrôle immédiat et direct sur chaque cas de partage de ses données (…) Oui, les données sont nécessaires. La vraie question est de savoir ce qu’il en adviendra et de décider si on veut les partager ou non ».

66% des participant.e.s ont déclaré que leur compréhension des enjeux autour des données s’était améliorée grâce à la documentation fournie pour le dialogue et après le dialogue We The Internet. Près de 54% d’entre eux partageront moins de données à l’avenir.

La désinformation, une préoccupation partagée

Autre sujet de discussion majeure : la désinformation. Avec la crise sanitaire, l’accès à une information juste au bon moment est devenu un élément vital dans de nombreuses régions du monde. Le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, a d’ailleurs dénoncé « l’infodémie » massive de « fakenews », comme des motrices de la crise elle-même. Comment garantir alors la fiabilité des sources et des informations en ligne ? Comment lutter contre la désinformation alors que l’accès à l’information est devenu une question de vie ou de mort dans de nombreux pays ? Qui doit s’impliquer dans cette lutte contre la désinformation ? Visiblement, cet effort qui doit être porté par tous selon les citoyen.ne.s : Etat, société civile, communauté technique etc. Pour Erlingur Erlingsson, responsable des politiques publiques chez Facebook, cette question est cruciale et constitue un enjeu mondial : « L’avenir est loin d’être rassurant. Il y a une augmentation du modèle chinois : une surveillance accrue, qui représente des risques pour l’Internet ouvert et accessible. Des pays comme la Russie et la Turquie ont pris des mesures similaires pour construire des murs numériques autour des citoyen.ne.s et de la souveraineté des données. À mesure que nous avançons, il est important que le droit à la libre expression, la vie privée numérique et les droits de l’Homme numériques soient protégés ».

Plus de 50 % des personnes interrogées se sentent exposées à la désinformation dans leur propre pays. 43 % estiment que la parole doit être contrôlée afin de ne pas nuire aux personnes et que les règles devraient être les mêmes dans les espaces privés et publics. 33 % déclarent que la liberté d’expression doit être déterminée par la nature de l’espace en ligne, tandis que les espaces publics devraient être contrôlés. 19 % préfèrent qu’il n’y ait aucune restriction, que la liberté d’expression soit totale.

L’éducation pour lutter contre la désinformation

Pour lutter contre la désinformation, plusieurs outils ont été suggérés. Parmi eux : une nouvelle législation, une intervention humaine ou technique pour garantir un contenu en ligne de haute qualité etc. La priorité et l’urgence numéro 1 sont l’éducation et l’autonomisation (les utilisateur.trice.s doivent apprendre à gérer par eux-mêmes l’exactitude des informations). Aux organismes publics la prise en charge des programmes d’alphabétisation (une priorité) ; au secteur privé (entreprises, plateformes de médias sociaux, développeurs de logiciels…) et la société civile au sens large (recherche et universités, journalistes et médias), la communication et la sensibilisation du public.

Simon Kreye du ministère allemand des Affaires étrangères a commenté les résultats et s’est engagé à utiliser les conclusions générales au niveau européen alors que l’Allemagne assume la présidence du Conseil de l’Union européenne : « Ces résultats confirment ce que nous pensons. Pour moi, l’éducation est encore une réponse trop légère à la désinformation, mais la sensibilisation et l’éducation aux médias peuvent avoir un impact énorme ».

Une confiance dans la « communauté universitaire et à la recherche »

79 % se disent favorables pour donner à la recherche et aux universités plus de pouvoir dans l’élaboration des politiques, par rapport aux autres acteurs (la « communauté technique » suit, puis la société civile, les citoyens ordinaires, les organisations régionales, les gouvernements nationaux et le secteur privé).

Autre question : quels sujets, quels défis et à quel niveau de décision les questions numériques doivent être mises en œuvre ? Les citoyen.ne.s ont répondu que l’intelligence artificielle (72 %), la gouvernance de l’Internet (66 %) et l’accès (64 %) devraient être traitées à un niveau mondial. A contrario, la désinformation et les données seraient à traiter à un niveau infra (par les régions ou les pays). Les dialogues citoyens sur Internet devraient-ils devenir la norme ? Pour 87,1 %, c’est oui ! Lynn St Amour, ancienne présidente de l’IGF, a d’ailleurs profité de l’occasion pour appeler le secteur privé à repenser ses processus politiques en s’adressant aux citoyen.ne.s : « Jamais nous n’avons eu, en tant que citoyen.ne.s, l’occasion de faire entendre notre voix. Ces processus peuvent avoir un impact dans les sphères gouvernementales mais aussi sur le secteur privé (…) ».

L’objectif de ce dialogue mondial est de tester, améliorer et institutionnaliser la gouvernance d’Internet avec et pour les citoyen.ne.s. Tous les résultats qualitatifs n’ont pas encore été analysés (ils seront disponibles dans quelques semaines) mais les intervenant.e.s présent.e.s à l’IGF ont d’ores et déjà salué un processus démocratique inédit et souligné l’importance d’intégrer ces données dans les décisions stratégiques. A suivre.

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5 et 6 juin 2020 : Dialogue mondial sur l’avenir de l’Internet https://missionspubliques.org/5-et-6-juin-2020-dialogue-mondial-sur-lavenir-de-linternet/ Mon, 25 May 2020 13:11:52 +0000 https://missionspubliques.org/?p=2478 L’article 5 et 6 juin 2020 : Dialogue mondial sur l’avenir de l’Internet est apparu en premier sur Missions Publiques.

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« Il a fallu seulement 25 ans à Internet pour atteindre la moitié du monde », rappelait António Guterres, Secrétaire général de l’ONU, lors d’une intervention au Forum sur la gouvernance de l’Internet en 2019 à Berlin. Pourtant, à l’heure où l’ONU célèbre son 75e anniversaire, plus de 80 % de la population n’est toujours pas connectée dans les 47 pays les moins avancés du monde*, où Internet pourrait avoir un impact transformateur.

En phase avec les directives du Secrétariat Général de l’ONU dans son rapport « L’ère de l’interdépendance numérique (The Age of Digital Interdependence), Missions Publiques organise les 5 et 6 juin prochains un Dialogue mondial en ligne sur l’avenir de l’Internet. Cette discussion aux enjeux majeurs réunira des citoyens et des parties prenantes directement concernés par le sujet. Leur mission ? Etayer les recommandations de l’ONU sur une coopération numérique renforcée à l’échelle globale. Leurs propositions seront ensuite envoyées, sous forme de solutions concrètes, auprès du secrétaire général des Nations Unies à l’été 2020.

Afin de garantir une diversité des acteurs, un équilibre régional et une égalité des sexes, Missions Publiques assure un large panel de consultations : des acteurs du secteur privé, de la société civile, des universitaires et des experts techniques, tant des pays en développement que des pays développés, répondent présents à l’appel.

Au niveau européen, les solutions seront intégrées dans les discussions de l’Internet Governance Forum 2020. Ce sera une occasion majeure de faire entendre la voix des citoyens et acteurs dans le débat politique. Au niveau mondial, la semaine de l’ONU en septembre ainsi que les célébrations autour de son 75e anniversaire seront une tribune exceptionnelle pour porter les idées citoyennes à la table des décisions.

Vous êtes intéressés ? Inscrivez-vous sur notre site dédié : https://wetheinternet.org/

N’oubliez pas que la discussion sera d’autant plus riche que les acteurs seront nombreux et divers. Pour cela, n’hésitez pas à activer votre propre réseau, qui en participant, fera connaître ses idées aux preneurs de décisions !

*source : ONU info, https://news.un.org/fr/story/2019/11/1056991

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